La réunion mensuelle Resto Trottoir est reportée au 11 juin

Petite modification dans le planning du Resto Trottoir de ce mois-ci ...
En raison du Besac Antifa Fest qui se déroule du 3 au 7 juin, la réunion  mensuelle d'organisation prévue initialement le mercredi 4 (1er mercredi du mois) est déplacée au mercredi suivant, 11 juin, et c'est toujours à 19h à la librairie l'Autodidacte.
Donc si vous pensiez rejoindre l'organisation du reso trottoir, désolé mais ça ne sera pas cette semaine.

Bonne semaine à tou-te-s
à +

(à propos du Besac Antifa Fest : https://rabasse.info/Premiere-edition-du-Besac-Antifa-Fest-425) 

Resto Trottoir du Dimanche 25 mai 2025

Ce dimanche 25 mai 2025 on se donne rendez-vous à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.
S'il pleut… comme à notre habitude, on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.

 

La microélectronique nous assèche et nous empoisonne

Grenoble, cœur de la «Silicon Valley » française, est le royaume des micro et nanotechnologie. Dans ce royaume peuplé d'entreprises issues du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) où règne une politique publique de soutien sans faille à la microélectronique, les deux entreprises STMicroelectronies (ST) et Soitec sont centrales. Les usines de ST et Soitec accaparent à elles seules 185 litres d'eau potable chaque seconde, ce qui équivaut à vider une méga bassine de Saïnte-Soline tous les 40 jours. En pleine sécheresse, quand les particuliers n'ont plus le droit d'arroser leur potager et que les paysan.ne.s sont rationné-es, ST et Soitec continuent d'engloutir l'eau potable du réseau, sans restrictions. En effet, l’électronique est l'un des secteurs industriels les plus voraces en eau, nécessaire à la fabrication des puces. ST et Soitec polluent l'Isère avec leurs rejets tout en bénéficiant de dérogations pour ces pollutions. Après traitement, l'eau rejetée dans l'Isère par ces deux usines est chargée en substances très toxiques - ammoniac, chlore, hexafluorure, phosphore, PFAS.. Comme pour les méga-bassines, ce sont les questions du partage des ressources et des choix de société qui nous sont aujourd'hui posés avec ces projets d'agrandissement.

Une prolifération d'objets connectés

Les puces produites dans la région grenobloise sont destinées principalement aux marchés des voitures électriques, des objets connectés et de la téléphonie mobile, On les retrouve par exemple dans les voitures Tesla et le réseau de satellites Starlink d'Elon Musk, la vidéo-surveillance boostée à l'IA, les robos ménagers, la 5G et jusque dans les maillots de bain et gourdes connectés. L'industrie microélectronique œuvre à la numérisation du monde, une manne financière et un outil de contrôle sans commune mesure, reconfigurant le système capitaliste et changeant radicalement nos façons de vivre.

Le numérique contre l'agroécologie paysanne

Parmi les nombreux usages de ces puces, on retrouve l'agriculture numérique. Les puces de ST participent à des systèmes de contrôle à distance des troupeaux de bovins ou à des systèmes d'irrigation « intelligents ». Ces technologies contraignent à une surcapitalisation des fermes, à la poursuite des logiques de dépendance et de dépossession au profit de l’agro-industrie. Les industries de semi-conducteurs participent ainsi activement à la disparition de la paysannerie et de tout espoir d'autonomie alimentaire.

Les puces au service de la guerre

Les semi-conducteurs sont utilisés tant dans le civil que dans le militaire, deux facettes indissociables d’une même pièce. L'Observatoire des Armements a démontré que les semi-conducteurs de ST équipent notamment les missiles et drones kamikazes russes. De son côté, la CGT-ST dénonce la participation active de l'entreprise au complexe militaro-industriel israélien. Quant à elle, Soitec - entreprise spécialisée dans les puces « critiques » à la dissuasion nucléaire et aux avions Rafale, n’est pas en reste. ST et Soitec sont complices des guerres et de la menace nucléaire. Pire, elles font du profit sur ces crimes en alimentant sciemment le commerce de la mort.

La « dématérialisation » n'existe pas

Selon ses promoteurs, le numérique permettrait de se passer de pétrole et participerait à la construction d'un « monde bas-carbone ». En réalité, les économies permises par l'électrification sont largement contrebalancées par l'explosion des usages et par les exigences de l'extraction des matériaux nécessaires, qui ont pour conséquence d'augmenter la consommation d'énergies fossiles. Loin de sa prétendue dématérialisation, le numérique a un impact énorme sur les milieux, ici comme ailleurs : mines qui éradiquent des hectares de forêts et ruinent les rivières, consommation outrancière d'eau potable et d'électricité, pollutions et déchets.… Que cette dévastation soit menée au nom d'une prétendue transition écologique — qui n'a jamais eu, n'a pas et n'aura sûrement pas lieu — montre bien le cynisme de celles et ceux qui la défendent. Le numérique ne « dématérialise » pas les activités : au contraire, chaque objet connecté dépend d’une immense infrastructure technologique, bien matérielle. Les nuisances locales de l'industrie du numérique sont loin d'être les seules : des mines congolaises aux immenses décharges de déchets électroniques ghanéennes en passant par les ateliers de misère asiatiques, le numérique repose sur une exploitation coloniale.

Retrouver notre autonomie par la lutte et les solidarités

Nous ne manifestons pas contre les salarié.es de ces entreprises. Si celles-ci font naturellement du chantage à l'emploi, il faut rappeler que leur but n'est pas de créer du travail, mais de générer du profit. Quand elles n'ont plus besoin de leurs salarié-es, elles les licencient. Nous savons combien il est devenu impossible de vivre en dehors du système technologique, ici comme dans de nombreux endroits du monde. Face au choix politique de la life.augmented qu'affiche le slogan de ST, de la 6G et du numérique, notre opposition ne pourra être que collective ! Ce sont bel et bien les structures que nous visons, en l'occurrence ces grandes entreprises qui mettent en péril les conditions de vie présentes et futures en contribuant à la fuite en avant technologique.

Cette escalade de dispositifs numériques nous entraîne peu à peu vers un monde à la merci des dominants, de plus en plus libérés de tout contre-pouvoir. Les géants de la tech ne se cachent d'ailleurs pas de leur goût du pouvoir autoritaire, de leur racisme, sexisme et de leur transphobie. Face à la société qu'ils dessinent et aux valeurs qu'ils portent, notre lutte repose sur la solidarité et l'entraide.

La lutte paye ! Depuis deux ans, la contestation menée par le collectif STopMicro ne fait que croître et les industriels jusqu'ici tout-puissants se retrouvent en difficulté. Soitec a annoncé la suspension de son projet, pendent que le chantier de ST est toujours à l'arrêt suite à la démission d'un de ses partenaires. Tandis que les entreprises font le dos rond, la Communauté de communes du Grésivaudan poursuit sa volonté d'étendre les usines, projetant d'exproprier plusieurs agriculteurs et de bétonner 11 hectares de terres agricoles.

Pour plus d'info: Blog de STopMicro

Le collectif STopMicro et les Soulêvements de la terre organisent une grande mobilisation à Grenoble contre l'accaparement des ressources par les industries du numérique, et la « vie connectée ».
Et nous à Besançon, comment peut-on s'organiser pour lutter contre l'hégémonie du numérique dans nos vies ?

Pas de repas pour ce mois d'avril

Nous en sommes désolés mais n'ayant pas l'effectif suffisant pour assurer l'organisation d'un repas, il n'y aura pas de Resto Trottoir ce dimanche 27 avril.

On se donne quand même rendez vous pour le repas de quartier organisé par les libertaires bisontins à l'occasion du 1er Mai, midi place Marulaz. 

Nous vous invitons à nous retrouver et participer aux prochains Resto Trottoir à venir en envoyant un mail à : resto-trottoir@herbesfolles.org
... ou à venir participer aux réunions d'organisations qui ont lieu le premier mercredi du mois à 19h à la librairie l'Autodidacte place Marulaz, pour le mois prochain ce sera le mercredi 7 mai.



« DES TREILLIS DANS LES LABOS, La recherche scientifique au service de l'armée » - Mercredi 9 avril à 18h


Le Resto Trottoir & Solidaires Étudiant-e-s

vous invitent à une

Conférence / débat 

avec  Fabrice lamarck

Lieu : Amphithéâtre Donzelot, Faculté de Lettres - UFR SLHS, 32 rue Mégevand

Quand : Mercredi 09 avril à 18h

Entrée libre 

 


Dans une envolée rare, les dépenses militaires européennes ont atteint leur niveau de la fin de la guerre froide. En France, troisième exportateur mondial d'armes, le complexe militaro-industriel mobilise entreprises et chercheurs civils pour concevoir et fabriquer les armes de demain.
Grenoble, spécialisée en semi-conducteurs, est emblématique de cette collusion.

L'auteur :
Fabrice Lamarck mène depuis plusieurs années une critique du rôle des chercheurs dans les sociétés capitalistes avancées. Il est membre du Groupe Grothendieck, auteur en 2021 aux mêmes éditions de L'Université désintégrée. La recherche grenobloise au service du complexe militaro-industriel, et participe au collectif « Faut-il continuer la recherche scientifique ? ».

 

 

Édition. Le monde à l’envers, 2024, 68 p. 5 €.

https://www.lemondealenvers.lautre.net/livres/des_treillis_dans_les_labos.html

 

+ +

Pour celleux qui ont raté la conférence, le média indépendant Le Ch'ni était présent et un compte-rendu de la soirée est disponible sur le blog du Ch'ni : des-treillis-dans-les-labos



Resto Trottoir du 30 mars 2025

Ce dimanche 30 mars 2025 on se donne rendez-vous à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.
S'il pleut… comme à notre habitude, on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.

Le 31 mars est la Journée International de la Visibilité Trans (TDoV : Trans Day of Visibility).
La journée de visibilité trans est une journée pour parler des droits des personnes transgenres. Défendre ceux qui existent, et demander l’accès à ceux que l'on n'a pas encore.
Parler de la diversité de nos existences, de nos parcours, de nos vécus, de nos représentations.

À Besançon, les collectifs proposent de fêter le TDoV ce dimanche 30 mars :

  • 17h : lieu : Place Granvelle : Pour un rassemblement avec prise de parole en micro libre et chorale des camarades de la  "Horde Vocales" !

  • 18h : lieu : Hop Hop Hop  : Marché de créateurices, DJ set, avec pièce en non-mixité mise à disposition.

 Pour plus d'info : Collectif Intransigeance

Repas du dimanche 23 Février

Ce dimanche 23 février, on se donne rendez-vous à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.
S'il pleut ... comme à notre habitude, on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.


Food Not Bombs

De la bouffe, pas des bombes

الطعام وليس القنابل

אוכל במקום פצצות

Ci-dessous le texte concernant les camarades du Food Not Bombs de Jérusalem. Cet article a té publié en février 2024, c'est a à dire il y a un an, dans le média israélien indépendant traitant des mouvements populaires et des luttes sociales et politiques en Israël : EZRACHION (Le Citoyen)...


Histoire du mouvement « FOOD NOT BOMBS » (https://ezrachion.org.il/foodnotbombs/)

15 février 2024

" Food not Bombs est un mouvement mondial, anarchiste et non hiérarchique, composé de branches indépendantes engagées dans le sauvetage alimentaire, la distribution de nourriture (végétalienne et toujours gratuite) et d'autres types d'entraide.

Le mouvement s’est développé dans le cadre d’un mouvement antinucléaire aux États-Unis au début des années 1980, avec des branches qui se sont développées partout dans le monde au fil des ans, y compris au Moyen-Orient – ​​Liban, Turquie et Palestine/Israël. La particularité du mouvement est la combinaison d’actions concrètes d’entraide, telles que la distribution gratuite de nourriture et d’autres biens de première nécessité à toute personne dans le besoin, et une large conscience politique anarchiste qui s’oppose à toutes les formes de hiérarchie – telles que le capitalisme, le colonialisme et le patriarcat. Cette combinaison s’exprime dans le fait que dans de nombreux endroits du monde, les branches du Food Not Bombs soutiennent des actions politiques telles que des manifestations, des marches et des squats, s’opposent activement aux politiques qui nuisent aux sans-abris, etc. Souvent, les activités sont récompensées par des persécutions politiques – comme les arrestations des militant-e-s de Food Not Bombs en Russie, alors qu’aux États-Unis, le mouvement a été classé comme faisant partie des organisations terroristes nationales par le FBI durant de nombreuses années, des actions on été arrêtées chaque semaine et des amendes ont été distribuées pour éviter la création de stands.

En Israël, trois noyaux principaux ont fonctionné au fil des ans, à Jérusalem, Haïfa et Tel-Aviv – tous fonctionnant selon les mêmes principes de base, mais de manière indépendante.

De la nourriture , Pas des bombes – Organisation de Jérusalem

Lors des fermetures imposées en raison de la pandémie de COVID-19 en 2020, une organisation a été créée à Jérusalem pour récupérer de la nourriture du marché de gros et la distribuer dans de nombreux quartiers de la ville. Les activités de sauvetage alimentaire à Jérusalem, dont la plupart étaient également des activités anti-occupation, ont permis d'installer le premier stand du Food Not Bombs dans la ville afin d'apporter un soutien au Bloc radical dans le cadre des manifestations de Balfour. Après cela, des stands ont commencé à être tenus régulièrement dans le centre de Jérusalem, sur la place de Sion.

Le lieu a été choisi pour tenter de proposer une alternative à l'extrême droite dans l'espace public, car le mouvement fasciste Lehava avait depuis des années ses propres stands sur la place de Sion, afin de recruter des jeunes pour des actions contre les Palestiniens. La distribution de nourriture gratuite a donné lieu à des conversations avec les passants sur la place, très différentes de celles qu'ils avaient avec les militants de Lehava, sur des questions telles que l'entraide et la solidarité.

En mai 2021, lorsque la violence raciste contre les Palestiniens dans le centre-ville de Jérusalem a atteint un niveau insupportable, l’activité a été confrontée au défi de combiner une action aussi basique et peu controversée que la distribution de nourriture dans les espaces publics avec des messages politiques. L'atmosphère sur la place est devenue hostile, forçant l'activité à chercher un nouvel emplacement, le premier choix étant la place Davidka, puis le parc de l'Indépendance.

L’activité hebdomadaire comprenait des missions de sauvetage alimentaire sur le marché de gros de Jérusalem.

En collaboration avec "Human Front" *(organisation de sauvetage alimentaire et d'entraide à Jérusalem), la cuisine et la distribution de nourriture cuite et végétalienne sont faites sur le stand même, la distribution est faite gratuitement à toute personne qui en fait la demande.

Au cours de la première année d'activité du groupe, deux stands spéciaux ont été organisés, dont l'un à Givat Amal, en soutien à une manifestation contre l'évacuation prévue des habitants du quartier (octobre 2021). Il convient de noter qu'à cette époque, lorsque la lutte qui durait depuis de nombreuses années atteignait son apogée en prévision de l'évacuation imminente, il n'y avait pas de branche active de Food Not Bombs à Tel-Aviv, alors les militants de Jérusalem décidèrent d'essayer d'apporter une petite contribution à la lutte et d'essayer également de créer de nouvelles connexions dans le quartier.

L'existence de ces stands exprimait la vision du monde anarchiste du groupe, qui s'efforçait de se connecter aux luttes locales telles que les luttes mizrahi, féministes et anticapitalistes.

Un autre défi auquel est confrontée l’activité est le fait que la plupart des membres du groupe sont actifs dans la lutte contre l’occupation, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie. Cela a rendu difficile la poursuite du fonctionnement continu des stands et, de fait, à partir de l'été 2022, il y a eu une pause d'un an dans les activités du groupe, certains membres du groupe continuant à opérer dans le cadre du « Human Front ».

À l'été 2023, les stands ont été rénovés, dans un nouvel emplacement au centre-ville – Moon Square. Après les événements du 7 octobre 2023, les membres du groupe ont changé la nature de leurs activités pendant plusieurs semaines, compte tenu du fait que le maintien des stands est devenu impossible, et ont effectué des tournées de distribution de nourriture dans les rues de Jérusalem, en mettant l'accent sur la distribution aux sans-abris. La cuisine durant cette période était assurée par les membres du groupe à la coopérative « Ambala », qui a fermé fin 2023.

Les activités de Food Not Bombs Jerusalem sont basées sur la conviction que nous devons agir les uns pour les autres, comme si nous étions déjà libérés de l’existence du gouvernement et du marché capitaliste, car ils n’ont jamais agi dans notre meilleur intérêt. Pour l’engagement envers l’idée que la société peut exister sur des valeurs d’organisation indépendante et libre, de démocratie directe et d’entraide, plutôt que sur des relations de pouvoir et d’exploitation. Les membres du groupe s'opposent à l'existence de tous les États en général et de l'État d'Israël en particulier, et croient qu'il est possible de vivre ici sans États et sans frontières. En opposition aux priorités d’une société qui sanctifie la guerre et les armes, et par conviction que l’alimentation est un droit fondamental pour tous. "

 

* Human Front Jérusalem : https://www.instagram.com/the_human_front_jlm/

 


 

Resto Trottoir du 26 janvier 2025

Bonne année à Tous et à toutes !!

Pour ne pas changer, on se donne rendez-vous ce dernier dimanche du mois, c'est à dire le 26 janvier, à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon ( et s'il pleut ... on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban).

À l’occasion du Veganuary, c'est à dire de janvier végan, lancé par l’association L214, on vous propose sur le même thème trois affiches pour le prix d'une !!!


Veganuary est la contraction de « vegan » et « january », c’est un défi mondial qui a déjà accompagné plus de 2 millions de personnes à manger vegan pendant 1 mois. Né il y a 10 ans au Royaume-Uni, ce challenge est relayé pour la 5e fois en France par L214.
 
Et pour avoir plus de renseignement sur le Veganuary, vous pouvez aller consulter le site Vegan Pratique ; https://vegan-pratique.fr/veganuary/


N'hésitez pas à venir nous donner un coup de main pour l'installation, le service du repas (et la vaisselle) à partir de 11h30 devant la librairie l'autodidacte Place Marulaz. 
Et si vous désirez participer à la collecte, à la cuisine, à la conception et au collage des affiches, ou à toutes autres activités dans le cadre du Resto Trottoir, vous pouvez venir assister à la réunion mensuelle qui se déroule tous les 1ers mercredi du mois à la librairie L'Autodidacte place Marulaz, ou nous contacter par mail.

Petit bilan photos du repas de ce dimanche :

Environ 120 personnes se sont retrouvées autour et dans la fontaine Place Marulaz pour profiter des rayons de soleil de janvier et de bons petits plats végétaliens... Merci à touxtes !!