« DES TREILLIS DANS LES LABOS, La recherche scientifique au service de l'armée » - Mercredi 9 avril à 18h


Le Resto Trottoir & Solidaires Étudiant-e-s

vous invitent à une

Conférence / débat 

avec  Fabrice lamarck

Lieu : Amphithéâtre Donzelot, Faculté de Lettres - UFR SLHS, 32 rue Mégevand

Quand : Mercredi 09 avril à 18h

Entrée libre 

 


Dans une envolée rare, les dépenses militaires européennes ont atteint leur niveau de la fin de la guerre froide. En France, troisième exportateur mondial d'armes, le complexe militaro-industriel mobilise entreprises et chercheurs civils pour concevoir et fabriquer les armes de demain.
Grenoble, spécialisée en semi-conducteurs, est emblématique de cette collusion.

L'auteur :
Fabrice Lamarck mène depuis plusieurs années une critique du rôle des chercheurs dans les sociétés capitalistes avancées. Il est membre du Groupe Grothendieck, auteur en 2021 aux mêmes éditions de L'Université désintégrée. La recherche grenobloise au service du complexe militaro-industriel, et participe au collectif « Faut-il continuer la recherche scientifique ? ».

 

 

Édition. Le monde à l’envers, 2024, 68 p. 5 €.

https://www.lemondealenvers.lautre.net/livres/des_treillis_dans_les_labos.html



Resto Trottoir du 30 mars 2025

Ce dimanche 30 mars 2025 on se donne rendez-vous à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.
S'il pleut… comme à notre habitude, on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.

Le 31 mars est la Journée International de la Visibilité Trans (TDoV : Trans Day of Visibility).
La journée de visibilité trans est une journée pour parler des droits des personnes transgenres. Défendre ceux qui existent, et demander l’accès à ceux que l'on n'a pas encore.
Parler de la diversité de nos existences, de nos parcours, de nos vécus, de nos représentations.

À Besançon, les collectifs proposent de fêter le TDoV ce dimanche 30 mars :

  • 17h : lieu : Place Granvelle : Pour un rassemblement avec prise de parole en micro libre et chorale des camarades de la  "Horde Vocales" !

  • 18h : lieu : Hop Hop Hop  : Marché de créateurices, DJ set, avec pièce en non-mixité mise à disposition.

 Pour plus d'info : Collectif Intransigeance

Repas du dimanche 23 Février

Ce dimanche 23 février, on se donne rendez-vous à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.
S'il pleut ... comme à notre habitude, on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.


Food Not Bombs

De la bouffe, pas des bombes

الطعام وليس القنابل

אוכל במקום פצצות

Ci-dessous le texte concernant les camarades du Food Not Bombs de Jérusalem. Cet article a té publié en février 2024, c'est a à dire il y a un an, dans le média israélien indépendant traitant des mouvements populaires et des luttes sociales et politiques en Israël : EZRACHION (Le Citoyen)...


Histoire du mouvement « FOOD NOT BOMBS » (https://ezrachion.org.il/foodnotbombs/)

15 février 2024

" Food not Bombs est un mouvement mondial, anarchiste et non hiérarchique, composé de branches indépendantes engagées dans le sauvetage alimentaire, la distribution de nourriture (végétalienne et toujours gratuite) et d'autres types d'entraide.

Le mouvement s’est développé dans le cadre d’un mouvement antinucléaire aux États-Unis au début des années 1980, avec des branches qui se sont développées partout dans le monde au fil des ans, y compris au Moyen-Orient – ​​Liban, Turquie et Palestine/Israël. La particularité du mouvement est la combinaison d’actions concrètes d’entraide, telles que la distribution gratuite de nourriture et d’autres biens de première nécessité à toute personne dans le besoin, et une large conscience politique anarchiste qui s’oppose à toutes les formes de hiérarchie – telles que le capitalisme, le colonialisme et le patriarcat. Cette combinaison s’exprime dans le fait que dans de nombreux endroits du monde, les branches du Food Not Bombs soutiennent des actions politiques telles que des manifestations, des marches et des squats, s’opposent activement aux politiques qui nuisent aux sans-abris, etc. Souvent, les activités sont récompensées par des persécutions politiques – comme les arrestations des militant-e-s de Food Not Bombs en Russie, alors qu’aux États-Unis, le mouvement a été classé comme faisant partie des organisations terroristes nationales par le FBI durant de nombreuses années, des actions on été arrêtées chaque semaine et des amendes ont été distribuées pour éviter la création de stands.

En Israël, trois noyaux principaux ont fonctionné au fil des ans, à Jérusalem, Haïfa et Tel-Aviv – tous fonctionnant selon les mêmes principes de base, mais de manière indépendante.

De la nourriture , Pas des bombes – Organisation de Jérusalem

Lors des fermetures imposées en raison de la pandémie de COVID-19 en 2020, une organisation a été créée à Jérusalem pour récupérer de la nourriture du marché de gros et la distribuer dans de nombreux quartiers de la ville. Les activités de sauvetage alimentaire à Jérusalem, dont la plupart étaient également des activités anti-occupation, ont permis d'installer le premier stand du Food Not Bombs dans la ville afin d'apporter un soutien au Bloc radical dans le cadre des manifestations de Balfour. Après cela, des stands ont commencé à être tenus régulièrement dans le centre de Jérusalem, sur la place de Sion.

Le lieu a été choisi pour tenter de proposer une alternative à l'extrême droite dans l'espace public, car le mouvement fasciste Lehava avait depuis des années ses propres stands sur la place de Sion, afin de recruter des jeunes pour des actions contre les Palestiniens. La distribution de nourriture gratuite a donné lieu à des conversations avec les passants sur la place, très différentes de celles qu'ils avaient avec les militants de Lehava, sur des questions telles que l'entraide et la solidarité.

En mai 2021, lorsque la violence raciste contre les Palestiniens dans le centre-ville de Jérusalem a atteint un niveau insupportable, l’activité a été confrontée au défi de combiner une action aussi basique et peu controversée que la distribution de nourriture dans les espaces publics avec des messages politiques. L'atmosphère sur la place est devenue hostile, forçant l'activité à chercher un nouvel emplacement, le premier choix étant la place Davidka, puis le parc de l'Indépendance.

L’activité hebdomadaire comprenait des missions de sauvetage alimentaire sur le marché de gros de Jérusalem.

En collaboration avec "Human Front" *(organisation de sauvetage alimentaire et d'entraide à Jérusalem), la cuisine et la distribution de nourriture cuite et végétalienne sont faites sur le stand même, la distribution est faite gratuitement à toute personne qui en fait la demande.

Au cours de la première année d'activité du groupe, deux stands spéciaux ont été organisés, dont l'un à Givat Amal, en soutien à une manifestation contre l'évacuation prévue des habitants du quartier (octobre 2021). Il convient de noter qu'à cette époque, lorsque la lutte qui durait depuis de nombreuses années atteignait son apogée en prévision de l'évacuation imminente, il n'y avait pas de branche active de Food Not Bombs à Tel-Aviv, alors les militants de Jérusalem décidèrent d'essayer d'apporter une petite contribution à la lutte et d'essayer également de créer de nouvelles connexions dans le quartier.

L'existence de ces stands exprimait la vision du monde anarchiste du groupe, qui s'efforçait de se connecter aux luttes locales telles que les luttes mizrahi, féministes et anticapitalistes.

Un autre défi auquel est confrontée l’activité est le fait que la plupart des membres du groupe sont actifs dans la lutte contre l’occupation, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie. Cela a rendu difficile la poursuite du fonctionnement continu des stands et, de fait, à partir de l'été 2022, il y a eu une pause d'un an dans les activités du groupe, certains membres du groupe continuant à opérer dans le cadre du « Human Front ».

À l'été 2023, les stands ont été rénovés, dans un nouvel emplacement au centre-ville – Moon Square. Après les événements du 7 octobre 2023, les membres du groupe ont changé la nature de leurs activités pendant plusieurs semaines, compte tenu du fait que le maintien des stands est devenu impossible, et ont effectué des tournées de distribution de nourriture dans les rues de Jérusalem, en mettant l'accent sur la distribution aux sans-abris. La cuisine durant cette période était assurée par les membres du groupe à la coopérative « Ambala », qui a fermé fin 2023.

Les activités de Food Not Bombs Jerusalem sont basées sur la conviction que nous devons agir les uns pour les autres, comme si nous étions déjà libérés de l’existence du gouvernement et du marché capitaliste, car ils n’ont jamais agi dans notre meilleur intérêt. Pour l’engagement envers l’idée que la société peut exister sur des valeurs d’organisation indépendante et libre, de démocratie directe et d’entraide, plutôt que sur des relations de pouvoir et d’exploitation. Les membres du groupe s'opposent à l'existence de tous les États en général et de l'État d'Israël en particulier, et croient qu'il est possible de vivre ici sans États et sans frontières. En opposition aux priorités d’une société qui sanctifie la guerre et les armes, et par conviction que l’alimentation est un droit fondamental pour tous. "

 

* Human Front Jérusalem : https://www.instagram.com/the_human_front_jlm/

 


 

Resto Trottoir du 26 janvier 2025

Bonne année à Tous et à toutes !!

Pour ne pas changer, on se donne rendez-vous ce dernier dimanche du mois, c'est à dire le 26 janvier, à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon ( et s'il pleut ... on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban).

À l’occasion du Veganuary, c'est à dire de janvier végan, lancé par l’association L214, on vous propose sur le même thème trois affiches pour le prix d'une !!!


Veganuary est la contraction de « vegan » et « january », c’est un défi mondial qui a déjà accompagné plus de 2 millions de personnes à manger vegan pendant 1 mois. Né il y a 10 ans au Royaume-Uni, ce challenge est relayé pour la 5e fois en France par L214.
 
Et pour avoir plus de renseignement sur le Veganuary, vous pouvez aller consulter le site Vegan Pratique ; https://vegan-pratique.fr/veganuary/


N'hésitez pas à venir nous donner un coup de main pour l'installation, le service du repas (et la vaisselle) à partir de 11h30 devant la librairie l'autodidacte Place Marulaz. 
Et si vous désirez participer à la collecte, à la cuisine, à la conception et au collage des affiches, ou à toutes autres activités dans le cadre du Resto Trottoir, vous pouvez venir assister à la réunion mensuelle qui se déroule tous les 1ers mercredi du mois à la librairie L'Autodidacte place Marulaz, ou nous contacter par mail.

Petit bilan photos du repas de ce dimanche :

Environ 120 personnes se sont retrouvées autour et dans la fontaine Place Marulaz pour profiter des rayons de soleil de janvier et de bons petits plats végétaliens... Merci à touxtes !!








Pas de repas pour cette fin d'année 2024

 

Désolé.e.s , mais nous ne serons pas là le dimanche 29 décembre pour organiser un repas !

Nous vous invitons à nous retrouver et participer aux prochains Resto Trottoir de l'année à venir en envoyant un mail à : resto-trottoir@herbesfolles.org
...ET à venir participer aux réunions d'organisations qui ont lieu chaque premier mercredi du mois à 19h à la librairie l'Autodidacte place Marulaz, pour janvier ce sera exceptionnellement le jeudi 2 janvier.

Bonne année à Tous et à toutes

Resto Trottoir du dimanche 24 novembre 2024

 
Comme à notre habitude, on se donne rendez-vous ce dernier dimanche du mois, c'est à dire le 24 novembre, à partir de 12h30 sur la place Marulaz, à Besançon.

S'il pleut ... on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.


Ce Resto trottoir sera le lendemain de la manifestion pour l'élimination des violences faites aux femmes et minorité de genre.
Voici donc le texte d'appel à manifester proposé par le collectif féministe"Nous Toutes".
L'appel complet est disponible sur leur site
La manifestation débutera à 15h, Esplanade des droits humains (devant la mairie).

Texte d’appel aux manifestations du 23 novembre 2024

contre les féminicides, les violences sexuelles et toutes les violences de genre

À l’occasion de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes et minorités de genre, nous appelons à manifester dans toutes les villes de France hexagonale et des Outre-mer le samedi 23 novembre contre les féminicides, les violences sexuelles et toutes les violences de genre.

En France, depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, nous décomptons déjà plus d’un millier de féminicides. UN MILLIER de femmes et filles assassinées par des hommes ! Les féminicides ont lieu partout, dans les foyers mais aussi en dehors. Dans l’espace public, ces crimes visent particulièrement les femmes trans, migrantes, travailleuses du sexes ou SDF qui sont trop souvent invisibilisées. Derrière ce chiffre, ce sont aussi des milliers d’enfants, de familles et de proches endeuilléEs.

Qui s’en indigne ? Qui se préoccupe réellement du meurtre de ces femmes, tuées parce qu’elles sont des femmes ? Quelles réactions collectives ? Quelles réponses politiques ? Depuis 7 ans, les gouvernements successifs ont multiplié les promesses mais les moyens sont dérisoires et en baisse, l’action politique est quasi-inexistante. Non seulement le gouvernement ne soutient pas le travail militant et associatif, mais il s’engage dans une répression sans précédent des mouvements sociaux et féministes.

Les violences sexistes et sexuelles sont quotidiennes et concernent tout le monde. La banalisation du sexisme favorise les violences que nous vivons au quotidien : discriminations, harcèlement, violences psychologiques, violences au sein du couple à travers le contrôle coercitif, violences économiques, cyberviolences dont les raids masculinistes, violences gynécologiques, mutilations sexuelles, mariages forcés, agressions, viols, féminicides. En France, une femme est victime de viol ou tentative de viol toutes les 2 minutes 30 et un enfant toutes les 3 minutes. Plus de cinq millions d’adultes en France déclarent avoir été victimes de pédocriminalité. Des centaines de milliers d’enfants sont victimes des violences conjugales, parentales et intrafamiliales. Un tiers des femmes subissent du harcèlement sexuel sur leur lieu de travail. Face à Gisèle et ses enfants, le profil des 51 hommes accusés de viol sous soumission chimique confirme ce que les associations féministes et enfantistes répètent depuis des décennies : les auteurs de violences ne sont pas des monstres, ce sont des hommes de notre entourage mais aussi des personnalités publiques. Ces violences concernent tout le monde ! Et la honte doit changer de camp !

[Lire la suite sur le site : https://www.noustoutes.org/manifestations-feministes-2024/#]



Resto Trottoir du dimanche 27 Octobre

Comme à notre habitude,  on se donne rendez-vous ce dernier dimanche d'octobre, c'est à dire le 27, à partir de 12h30 sur la place Marulaz à Besançon.

S'il pleut ... on trouvera refuge sous les arcades du quai Vauban.

(Et faites attention au changement d'heure !)


N'hésitez pas à venir nous donner un coup de main à la cuisine le samedi (contactez nous par mail assez tôt à l'avance pour qu'on vous donne l'adresse), ou nous aider à installer et à servir le repas le dimanche à partir de 11h30 devant la librairie l'autodidacte Place Marulaz.