Pas de Resto Trottoir en décembre

Nous sommes désolé.e.s , mais nous ne serons pas là le dimanche 27 pour organiser un repas !

Nous vous invitons à nous retrouver et participer aux prochains Resto Trottoir de l'année à venir en envoyant un mail à : resto-trottoir@herbesfolles.org
ou à venir participer aux réunions d'organisations qui ont lieu le premier mercredi du mois à 19h à la librairie l'Autodidacte place Marulaz, pour janvier ce sera le mercredi 6 janvier mais à partir de 18h exceptionnellement (il y a encore le couvre-feu).

Bonne année à Tous et à toutes

Resto Trottoir du 29 novembre

 Le Resto Trottoir de novembre aura bien lieu malgré la Covid, mais sous certaines conditions: il n'y aura ni table ni banc, et le coté convivial sera mis de coté pour l'instant.
Nous ferons une distribution de nourriture cuisinée à emporter (toujours à base de fruits et légumes récupérés sur le marché et auprès des Biocoops).

Alors, dimanche à partir de 12h30, en respectant les gestes barrières, amenez vos boites, récipients, "tupperware" (on aura aussi quelques boites pour celleux qui n'en ont pas).

Mais ATTENTION pour des raisons logistiques s'il pleut, ou s'il neige, nous devrons annuler la distribution.

Le Resto Trottoir d'octobre en photos

 Merci à la Fanfare de Battant d'avoir animé avec maestria le repas.









Resto Trottoir d'Octobre + concert de soutien

 Depuis plus de dix semaines, des centaines de milliers de Bélarusses défient régulièrement le pouvoir et descendent dans la rue pour manifester et demander le départ d'Alexandre Loukachenko qui à la suite d'élection truquée a pu conserver son trône d'autocrate.

Malgré la répression de plus en plus violente, les Bélarusses sont en quête de liberté et mettent en place des solidarités afin de tenir face la dictature.

Nous relayons l'appel lancé le 11 septembre 2020 par les camarades du Food Not Bombs de Minsk ( https://vk.com/fnbminsk ) :

(la traduction a été effectuée grâce à google-translate puis corrigée par nos soins, il y a certainement quelques erreurs lexicales, certains passages peuvent paraitre confus mais nous espérons que l'esprit du texte est compréhensible)

"Notre appel s'adresse aux Bélarussiens, aux Bélarussienes et aux personnes d'autres nationalités qui sont avec nous «de ce côté des barricades». À ceux qui luttent et sont inflexibles, et à ceux qui se sont rendus et sont désespérés. À ceux qui sont sur le territoire du pays et à ceux qui l'ont quitté : nous sommes tous ensemble dans ce petit bateau dans la mer agitée et nous essayons de survivre. Les événements que nous vivons resteront dans les manuels d'histoire comme des jours d'opposition à la dictature de 26 ans au Bélarus.

Probablement, jamais auparavant notre haine contre les organes d'états enfreignant la loi (qui sont maintenant correctement surnommés les punisseurs) n'a été aussi forte.

Mais notre fierté et notre admiration pour les Bélarusses sont également fortes.

Nous ne voulons pas sous-estimer l’importance des pertes que nous avons déjà subies. C'est un prix trop élevé : pour la vie, la santé des gens, et c'est maintenant notre société qui subit un traumatisme collectif. Mais nous voulons célébrer les victoires et les réalisations que nous avons déjà acquises, et qui resteront avec nous sous n'importe quel régime, ce sont des choses qui ne pourront nous être enlevées par aucune force.

En premier, nous avons accru notre conscience politique et nous avons pu nous séparer de notre syndrome d'impuissance. Depuis un mois maintenant, des gens de tous horizons sont descendus dans la rue et demandent des changements, y compris ceux qui n’avaient jamais été impliqués dans l’activisme politique.

L'un des principes de notre collectif est la non-violence. Mais nous sommes solidaires non seulement des manifestants qui participent à des marches pacifiques, mais aussi de ceux qui résistent. Car construire des barricades lorsque les "punisseurs" utilisent des armes et du matériel militaire contre des personnes non armées en toute impunité n'est pas de la violence, mais de la légitime défense! Nous ne nous sommes pas des provocateurs, car ce sont les autorités et ceux qui les défendent qui sont les sources de la violence.

Il y a déjà une victoire définitive dans le fait que des centaines de milliers de personnes ont acquis l'expérience des manifestations de rue, ainsi que celle de surmonter leur peur de descendre dans la rue et de déclarer haut et fort que c'est notre ville, notre pays, notre vie.

Deuxièmement, nous voudrions distinguer le mouvement des femmes parmi les centaines de milliers de manifestants. Demandons à ceux qui critiquent l'engagement pacifique des femmes, le fait d'offrir des fleurs aux punisseurs, de laisser tranquilles ces femmes intrépides et de retourner plutôt leur colère contre le système patriarcal, qui veut que les femmes soient mignonnes, agréables, toujours souriantes, pardonnant à tout le monde, avec l'interdiction d'exprimer de la colère ou de l'agressivité. Après tout, pendant tout ce temps, les femmes elles-mêmes ont reçu des fleurs et ont appris le rôle de «décorer n'importe quel collectif» (et non d'apprivoiser une dictature). Élevons nos filles bruyamment, rebelles et libres. Arrêtons de leur dire qu'elles sont le sexe faible, mais disons leurs à quel point leurs mères ont été fortes. Elles sont sorties pour protester face à des forces de l'ordre qui ont lancé des grenades sur des personnes non armées, tiré des balles en caoutchouc à bout portant et écrasé des gens avec des paniers à salade.

Et c'est la deuxième victoire : l'émancipation des femmes, et leur stupéfaction, contrairement à toute autre protestation. Les femmes se sentent plus que jamais une force politique, et elles ne se sépareront jamais de cette découverte. Même si vous emmenez tous les hommes forts à la disposition de l'État dans les rues, habillez-les avec des masques et des vêtements noirs, forcez-les à courir dans les deux sens le long de l'avenue avec un regard sérieux : les femmes leur riront au nez . Nous sommes déjà dans une société différente, avec d'autres femmes. Et peut-être que même si le patriarcat n'est pas encore détruit, il commence déjà à craquer.

Une autre victoire non moins importante et qui nous rend très heureux en tant qu'anarchistes est la croissance de l'entraide et de la solidarité dans notre société. Tout cela est aussi important que les manifestations de rue. Des initiatives entières pour aider les victimes ont été mises en place et fonctionnent bien. Psychologues et avocats offrent leur aide professionnelle gratuitement. Les chauffeurs de taxi et pas seulement : Voyage gratuit. Centres médicaux : service gratuit. Les gens se sont rendu compte qu’il n’était pas nécessaire d’avoir des compétences particulières en matière d’entraide. Vous pouvez simplement apporter de l'eau potable aux manifestants sous le soleil brûlant, nourrir les grévistes. De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins! Tels sont les principes que nous, en tant que collectif, avons essayé de promouvoir par nos actions. Et ici, nous avons un message important pour vous : de telles actions font partie des idées de l'anarchisme! L'anarchie n'est pas le chaos et le désordre, comme les hommes en uniforme à la télévision essaient de vous l'inculquer. Violence, cruauté, répression : ce sont les principes tacites de l'État. Paix, entraide, soutien, partage des responsabilités, liberté : tels sont les principes anarchiques que nous essayons de transmettre aux gens. Continuons à unir les rues, les maisons et les cours pour s'entraider entre amis et plus loin encore, et peu importe qui deviendra président-e!


PS: L'appel en dit long sur les personnes qui participent activement aux manifestations ou les soutiennent à l'arrière. Mais nous comprenons également qu'il existe de nombreux groupes de personnes vulnérables qui ne peuvent pas participer à la lutte. Comme ceux qui ont des problèmes de santé mentale exacerbés tels que la dépression, des troubles anxieux, qui souffrent de paranoïa, etc. Il peut y avoir d'autres raisons importantes, et c'est normal. Nous travaillons avec l'un de ces groupes : les sans-abri et les personnes ayant très peu de moyens de subsistance. Et ces personnes sont également importantes et recherchent la liberté et une vie meilleure, bien qu'elles ne puissent contribuer à la lutte. Nous sommes également solidaires avec elles et nous voulons qu’elles ne soient pas oubliées, ni condamnées, mais qu’elles puissent apporter leur aide."


 

Nous vous invitons également à assister au concert de soutien organisé le jeudi 22 octobre au Foyer des Oiseaux :

LOUNATA (électro folk) 

Concert en solidarité au peuple Bélarusse le jeudi 22 octobre 20h30

Aux frontières des musiques ancestrales et actuelles, LOUNATA propose une vision inédite de la musique, les Continents fusionnent à l’unisson.

Lounata par sa démarche artistique de mixité des styles, rassemble diverses cultures, faite d’une trame d’une musique ancestrale Biélorusse en passant par l’Electro, HipHop actuelle, Trance.


Réservation vivement conseillée (car jauge réduite) par tel : 0381403200 ou par mail o.brenet@hajlesoiseaux.fr

5€ (3€ pour les cartes avantages jeunes)

événement facebook : https://fb.me/e/1DlwE6G0i

Blog des oiseaux : https://www.habitatjeuneslesoiseaux.fr/culture/concerts/article/lounata.html

No-RT de Septembre

 Nous sommes bien désolé.e.s de vous annoncer qu'il n'y aura point de RT en septembre. Parce que pas assez de monde pour la cuisine, pour l'installation.

Alors si vous voulez venir grossir les rangs des trottant.e.s, nous vous rappelons que l'organisation des RT se fait le premier mercredi du mois (prochaine réunion le 7 octobre, avis aux volontaires !) à partir de 19h à l'Autodidacte. Si vous ne pouvez être présent.e.s le mercredi, vous pouvez nous envoyer un courriel, dans la première partie du mois, pour nous avertir de votre volonté de participer à l'élaboration du repas.

A bientôt.



Rentrée libertaire : Surplus - Terrorized into Being Consumers, le 30 septembre

 Le Resto Trottoir, dans le cadre de la rentrée libertaire, organise un débat autour de la projection du documentaire Surplus - Terrorized into Being Consumers.

La soirée débutera à partir de 19h30 par un petit moment convivial: présentation et discussion autour de deux ou trois trucs à grignoter.

 A 20h00 environ, projection du documentaire de 54 minutes environ (Version Originale Sous-Titrée Français), puis discussion.

 

Surplus: Terrorized Into Being Consumers est un film documentaire suédois d'Erik Gandini sorti en 2003, qui porte sur les questions du consumérisme et de la mondialisation. Le film traite des arguments en faveur du capitalisme et du progrès technique, comme une plus grande efficacité qui laisserait plus de temps et permettrait de moins travailler, pour juger finalement que cet objectif n'est pas atteint.
Cette conclusion est atteinte à travers un tour du monde passant entre autres par un retour sur les émeutes anti-G8 de Gênes de 2001, un panorama de la situation cubaine sous Fidel Castro et un reportage dans les chantiers de démantèlement de navires d'Alang.
Un temps de parole important est également accordé au philosophe américain John Zerzan, défenseur du primitivisme. 
Collage, manipulation des sons et des synchronisations, répétitions suggestives, montage incisif, musique dub et électro, slogans martelés... le film utilise les mêmes techniques que la publicité et les shows télévisés. Ironique à souhait, le documentaire interroge (plus qu'il ne dénonce) sur notre rapport à la consommation et nos désirs de décroissance... 
 
Librairie l'Autodidacte, 5 rue Marulaz
Entrée libre 

Rentrée Libertaire 2020, du 12 septembre au 16 octobre

 

 

C'est la rentrée libertaire 2020!! Différents groupes libertaires (la Fédération Anarchiste, le Resto Trottoir, l'infokiosque de Besac et la Zone Du Dehors) s'associent pour animer une rentrée militante et libertaire.

Le programme détaillé de la rentrée libertaire de cette année est disponible en format PDF : Programme 2020

Resto Trottoir du 30 Août 2020

Dimanche à partir de 12h30, en respectant les gestes barrières, rejoignez nous sur la PELOUSE DU SQUARE CHARMONT où nous serons en mode PIQUE-NIQUE, ou s'il pleut (mais on ne l'espère pas) sous les arcades du quai Vauban.

 

Resto Trottoir du 26 juillet aux Vaîtes

Ce dimanche 26 juillet 2020, le Resto Trottoir sera délocalisé aux Vaîtes !

Retrouvez nous à 12h30 pour le repas à la Zone à Cultiver des Vaîtes, à proximité de l'arrêt du tram Schweitzer.


Ca bouge aux Vaites !!! (si vous n'étiez pas encore au

courant)

Pour plus de renseignement sur la ZAC (zone à Cultiver) des Vaites :
Et ça se mobilise depuis longtemps sur ce bout de terrain ... 
un petit rappel du repas de juin 2016 : RT aux Vaîtes

Resto Trottoir du 28 juin 2020

Salut à tou-te-s

Il parait que "tout ne sera plus comme avant"... enfin, c'est ce qu'on nous avait promis à la fin du confinement.

Mais retour à la normale: l'industrie va toucher des milliards d'euros pour la "relance" économique, alors que les hôpitaux et le personnel soignant qui eux réclament des réformes et des moyens depuis plusieurs années ne savent pas à quelle sauce ils vont être mangés après le "Ségur de la santé".
Car l’épidémie de coronavirus, qui n’est pas encore terminée, a montré les failles de notre système de santé, en particulier dans les hôpitaux. Plus d’un an après le début d’un mouvement de grève dans ces structures, il apparait plus que nécessaire d'améliorer les rémunérations des soignants, leurs conditions de travail, ainsi que la prise en charge des malades.


Dimanche à partir de 12h30, en respectant les gestes barrières, rejoignez nous sur la PELOUSE DU SQUARE CHARMONT où nous serons en mode PIQUE-NIQUE, ou s'il pleut (mais on ne l'espère pas) sous les arcades du quai Vauban.

 à dimanche.

(pour celleux qui ne savent pas où se trouve le square Charmont, il s'agit du petit parc en haut de la Place Marulaz en direction de la Place Leclerc)

Resto trottoir du 31 mai

Le Resto Trottoir de mai aura bien lieu après 2 mois d'absence, mais sous certaines conditions: il n'y aura ni table ni banc, et le coté convivial sera mis de coté pour l'instant.
Nous ferons une distribution de nourriture cuisinée à emporter (toujours à base de fruits et légumes récupérés sur le marché et auprès des Biocoops).

Alors, dimanche à partir de 12h30, en respectant les gestes barrières, amenez vos boites, récipients, "tupperware". Et si vous souhaiter manger au soleil, sur la place, ou sur les quais, n'oubliez pas fourchettes et
cuillères.



à dimanche.







Resto Trottoir de mars : annulé

Pour cause de confinement face au Covid-19, le repas prévu le dimanche 29 mars est annulé.
On espère se revoir pour celui d'avril.


Resto Trottoir du 23 février 2020

Attention, bien que cette année le mois de février compte 29 jours, le dernier dimanche du mois sera  le dimanche 23.
Donc rendez-vous pour le prochain resto-trottoir dimanche 23 février à partir de 12 heures 30 place Marulaz à Besançon (ou à l'abri sous les arcades du quai Vauban s'il pleut ou s'il neige). 
Vous pouvez venir plus tôt si vous le désirez pour donner un coup de main pour l'installation  vers les 11h30. vous pouvez également nous aidez à faire le service ou la vaisselle.

.Pour ce mois, on vous propose de méditer sur une petite chanson de Renaud, car même si Besançon est une "ville verte", il reste énormément à faire pour réduire l'utilisation quotidienne des automobiles.

Resto trottoir du 26 janvier 2020

Avez-vous vu nos dernières affiches? oui? non?

Depuis quelques mois, elles disparaissent aussi tôt collées. Mais pas que celles du Resto Trottoir, tous les collectifs et associations qui collent des affiches de format A3 sur les murs de Besançon ont le même problèmes.
La faute à qui?...
A un service de nettoyage de la ville particulièrement efficace et zélé en ce qui concerne la propreté des murs de nos rues.
Évidement ces collages sont "sauvages", ils ne sont pas sur les panneaux d'affichage autorisés. Mais ils sont où ces panneaux et combien y en a t'il?
Dans le centre ville (Boucle et quartier Battant), il y en a 3, il n'y en a que 3 :
- devant le bâtiment de la Poste, rue Proudhon
- près de la fac de lettres, rue Mégevand
- près du collège Victor-Hugo, rue du lycée
et rien dans le quartier Battant.
Ce n'est pas la première fois que le resto trottoir dénonce le manque d'espaces de collages légaux, nous l'avions déjà fait en juillet 2013 pour soutenir Toufik de Planoise ( voir l'article: "Nous existons, nous militons!" )
Les individus, associations et collectifs qui cherchent à faire leurs publicités sont en concurrence permanente avec les colleurs professionnels (commerciaux : boîtes de nuit, entreprises culturelles, événements en salon) qui recouvrent tout sur leur passage. Avec nos petits formats A4 et A3, nous collons où nous pouvons…et en général en dehors des clous.

Avez-vous vu les panneaux adressés aux touristes qui ont surgit depuis cet été (voir l'article de l'Est : Une nouvelle signalétique et visite virtuelle pour le cœur de ville ) ?
Dans cet article, il est clairement dit que la signalétique était "indigente", mais le nombre de panneaux pour l'affichage autorisé n'est il pas "indigent" lui aussi?
Il y a quelques années, on nous avait expliqué qu'il y avait une "impossibilité de mettre en place de nouveau mobilier urbain sous peine de dévaloriser le patrimoine". Mais cette impossibilité ne semble pas s'adresser aux intérêts commerciaux. 
Avez-vous vu ces nouveaux panneaux publicitaires Led remplacent les vieilles sucettes JC Decaux? Leur nombre augmente. Certains apparaissent là où il n'y avait rien, d'autres sont déplacés, tout cela au gré des études d'impacts.
Avez vous vu ces nouveaux bacs de tris? ...qui servaient souvent de support à collage... ils ont devenus street-art (De nouvelles stations de tri). Et sans compter les autres types de conteneurs dont la surface en tôle emboutie ne permet plus de collage.
Avez vous vu ces murs tagués sur lesquels trainaient aussi quelques affiches et qui désormais sont couverts de graffs "officiels" qu'on ne peut toucher car ils font partis d'un circuits touristique "officiel"?

Mais pour nous, collectifs qui animons la ville, qui organisons des évènements gratuits, à prix libre, ou à prix réduits, ne cherchant pas de bénéfice... rien... pas une surface d'affichage en plus. Pourtant nous sommes ses habitants, nous sommes ses êtres vivants, nous ne sommes pas que des consommateurs. Nous ne voulons pas que la rue soit un espace marchand, nous voulons qu'elle soit un lieu de sociabilité organisée: rencontres, débats, échanges, festivités...

Avez vous vu notre dernière affiche? peut être oui, peut être pas, peut être plus du tout.

Quand il n'y aura plus rien a voir sur les murs de Besançon, il n'y aura peut être plus besoin de murs, car nous serons ailleurs, là où on ne s'ennuiera pas.


(sur la nécessité d'occuper la rue et les murs, relisez les tracts du RT : Tracts Resto Trottoir)